LES DÉTENTEURS DU POUVOIR

En deux mots, l'union des nations, l'union africaine et l'union européenne prennent acte de la prestation de serment de Félix Antoine en lieu et place de celui attendu. Martin Fayulu. Cette position doit interpeller les congolais qui s'intéressent à l'occident dans le but de son appui extérieur dans presque tous les domaines pour l'aboutissement de ses projets. Tshisekedi a besoin des capitaux et à difficile à décoller l'avion de sa gestion dans pareille situation. D'où, la mesure de suspension de toutes les transactions financières dans les ministères et les entreprises si ce n'est pour le personnel. Un signe fort qui oblige le chef au contrôle des recettes dans les caisses de l'état en vue de la mise place des nouvelles mesures de contrôle pour une nouvelle redistribution. Il ne pourra compter sur aucune aide extérieur dans pareille circonstances, ne connaissant pas la fixation des relations entre son pays et les autres états.

En dates du 24 et 25 Janvier 2019, le président de la république proclammé par la ceni provisoirement, confirmé par la cour constitutionnelle, quoique rejeté par une frange de l'opposition congolaise à savoir, Félix Antoine Tshisekedi à prêté serment devant Dieu et la nation avant de recevoir les symboles du pays et accéder au fauteuil présidentiel lors de la remise et reprise au palais des nations. Beaucoup d'éléments laissent planer des doutes sur l'acceptation, non de la personne de Félix Antoine mais de la crédibilité des résultats qui le portent au pouvoir. Un seul chef d'État pour répondre à l'invitation sur les 17 invités. On ne peut pas se cacher la figure, même ceux qui se sont fait représenté ont trouvé une formule polie pour refuser l'invitation. A qui donc cette réponse a été réservée? Tshisekedi n'étant pas installé au pouvoir n'a rien organisé ni personne invité à ce niveau. Donc, c'est à Joseph Kabila que ses pères Africains et Collègues président ont dit non. Que lui reproche-t-on? D'avoir sûrement confisqué les résultats des urnes en les manipulant à sa guise. Si Lamuka ne reconnaît pas ces résultats, la cenco les repousse, les ambassadeurs n'en veulent pas , les organismes internationaux y tournent le dos, il y a de quoi à'interroger. Qui peut être en mesure de liguer le monde entier contre Kabila fils? Faut-il croire à une manoeuvre de la frange de l'opposition malheureuse aux élections? Non, ceci n'est pas le fruit d'un pur hasard. Les services de renseignement, indépendamment du pouvoir en place et le pouvoir judiciaire ont le devoir d'éclairer la lanterne. À suivre...

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